Lorsqu’on est au volant d’une voiture, on s’efforce toujours d’être prudent, de respecter le code et de se concentrer au maximum. Ce sont les premiers comportements que devraient avoir un bon conducteur. Cependant, on n’échappe jamais à un contrôle routier, qui même en étant dans la légalité, nous stresse toujours un peu.
La pression monte d’un cran lorsqu’on est suivi par une voiture de police avec les gyrophares allumés nous demandant de nous mettre sur le côté et d’arrêter la voiture. On ne sait jamais à quoi s’attendre dans ces moments. On se demande même si on n’a pas respecter un feu rouge ou si on a dépassé la vitesse limite. Pourtant, il semble que l’on a conduit sans outrepasser aucune règle sauf faute d’inattention.
William Jazwinski a vécu cette situation ce matin-là. Ce jour-là, il a décidé de prendre l’air et de déstresser quelques heures au volant de sa voiture. Après quelques kilomètres, le conducteur s’est rendu compte qu’une voiture de police le suivait. L’officier lui ordonna de descendre sur le côté et de couper le moteur. William obéissait tout en s’interrogeant sur la raison de cette interpellation.
Il ne savait pas ce qu’il avait fait de mal
Une fois le moteur coupé, William se questionnait : qu’ai-je fait de mal ? Etait-ce à cause d’une infraction qu’il a inconsciemment commise ? L’officier procédait-il à un simple contrôle ? Il ne savait pas du tout à quoi s’attendre mais il était de bonne foi et comptait coopérer quoiqu’il arrive.
William était sur le chemin du retour, il a fini sa petite balade en voiture et a pu se vider l’esprit. En y repensant, William était sûr qu’il n’a rien fait de mal alors quelle était la raison de cette arrestation ? Plus il cherchait la raison, plus il stressait car rien ne lui venait à l’esprit.
Le fait que l’officier l’ai demandé de s’arrêtait étonnait beaucoup le conducteur. Il commençait même à angoisser car cela ne présageait rien de bon. En tout cas, il était persuadé qu’il allait avoir des ennuis dès l’instant où il a aperçu la voiture de police et ses gyrophares.